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NATHALIE FREOUR


 

 

 

PEINTURE & POÈSIE

Grands formats, ornés de poèmes, RENE GUY CADOU, HELENE CADOU, PAUL FREOUR

Série orientale accompagnée de RAINER MARIA RILKE

 

CARNETS DE VOYAGE

Paysages méditatifs

 

ILLUSTRATION DES POETES

FRANÇOIS MAURIAC, PAUL CLAUDEL, BERNARD CLAVEL, LISA BRESNER,
HELENE CADOU, FRANÇOIS CHENG, BRUNO DOUCEY,

DOMINIQUE SAMPIERO, GILLES BAUDRY, PAUL ELUARD, HABIBA DJAHNINE,
JOHN HENRY NEWMAN, RAINER MARIA RILKE,

GERARD BOCHOLIER, JEAN-CLAUDE ALBERT COIFFARD, JEAN LAVOUE,
JEAN-PIERRE DENIS, JEAN-PIERRE BOULIC,

BERNARD PERROY, DOMINIQUE PAGNIER, EMMANUEL GODO

 

 

 

 

 

 

 

Naissance 15 juillet 1952 / ANGERS

Baccalauréat / école des beauxarts Angers Bordeaux Rennes (1962-1976)

Peinture & illustration / NANTES

Expositions dès 1976

 

Nathalie Fréour

nathalie.freour@yahoo.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 TÉMOIGNAGES

 

2018

FRANÇOIS VERCELLETTO Ouest France 26 janvier

« C’est un jardin extraordinaire…Le jardin que nous offrent Nathalie fréour et Jean-Claude Coiffard respire l’harmonie. Le trait juste de l’artiste peintre répond naturellement aux mots simples du poète. On se promène avec délice dans ce paysage délicat… « Sont-ils deux papillons eux aussi dont l’un aurait peint du bout de son aile tandis que de sa patte l’autre aurait loué la fleur ? » interroge joliment Marie-Laure Jeanne Herlédan »

 

2017

JEAN CLAIR

« Quel plaisir délicat cette ENCRE DE MER, ces pastels marins, cette poussière lumineuse d’eau salée, déposée en strates vibrantes. »

 

FRANÇOIS VERCELLETTO Ouest France 29 juin

“Le doux murmure de la verdure… « Le coeur fait les cent pas / au bout de l’allée / pudique sourire aux lèvres d’un cerisier en fleur ». Magnifique composition à deux mains. Les poèmes de Gilles Baudry, et les illustrations de Nathalie Fréour composent un ensemble des plus harmonieux. Le végétal se tait, mais il dit beaucoup. Il fallait tout le talent des auteurs pour l’écouter et le traduire. « ce qu’a d’inouïe l’éclosion du silence / et que la neige laisse entendre / entre deux rêves, / là-bas, / deux silhouettes le murmurent,/ penchées à la fenêtre du matin du monde »

 

MICHEL SUFFRAN  

« J’en viens à ce fascinant pastel (mer)…J’admire avec quelle économie de moyens consentie, avec quelle humilité visionnaire vous rendez l’essentiel de ces « horizons chimériques » dont la possession tient, toute entière, en une promesse. Nous sommes atteints par cela même que nous ne savons ou pouvons atteindre. Quand j’étais enfant, en la grande maison familiale de Mézin j’ai commencé à éprouver tout cela…L’éternité ressemblait alors à une superposition d’instants…votre pastel ressuscite ces moments de grâce. »

« Quel art magnifique est le vôtre de parvenir ainsi, par une épuration, presque une ascèse extrêmes à nous faire ressentir, sensoriellement, cet essentiel « invisible pour les yeux »

 

MICHEL SUFFRAN  
« ENCRE DE MER » Ed L’enfance des arbres

« Mais, peut-être, sans doute même, toute créativité, picturale, musicale, écrite n’est-elle qu’une révolte- sinon un exorcisme-devant cette précarité des êtres, des instants, des demeures… « les maisons fugitives » disait Mauriac ? Que serions-nous sans la divine pitié ? Cette poésie dont vous parlez si bien n’est-elle pas à bien des égards, une forme de la prière ? C’est là une grâce qui rayonne de vos pastels, mais sans effets, par le seul fait que vous allez à l’essentiel – ne peut-on dire « l’âme » d’un lieu, d’un horizon, d’instant que l’on devine fugace et qu’il faut à toutes forces, pérenniser…Si la poésie-qui n’a nul besoin de majuscule, non plus que l’horizon et la lumière revêt ce sens de nécessité vitale et non pas de simple ornement, c’est au prix, à l’humble et merveilleux prix, de ces instants dérobés à la fuite inexorable du sens. « Nécessaire clôture pour qu’un lieu soit appel et l’instant répons

sans fin » -c’est ce qui est enclos qui, parfois, nous donne l’idée de l’infini.- combien cela est « juste et bon » ! C’est cela qui me saisit en ce merveilleux ENCRE DE MER : le répons et l’échange entre l’exprimé par vos pastels et le murmuré par l’écrit… »

 

GILLES BAUDRY  
Postface « ENCRE DE MER » Ed L’enfance des arbres

« Y a-t-il métaphore plus adéquate de l’infini que celle de la mer ? Que son pouvoir hallucinant de fabuler les lointains ? Il suffit que les yeux d’un poète et d’une pastelliste retiennent quelque chose de l’infini longuement, patiemment, amoureusement contemplé, pour que s’opère le miracle de l’oeuvre d’art, d’une « partition » jouée à quatre mains…Et nous voilà « partis à la dérêve » (jules Supervielle). Rêves croisés d’archipels et d’escales, de parfums d’îles lointaines avec de surcroît, le plaisir de décliner les marées, de solfier la neige des embruns, l’ostinato des vagues dans le ressac du coeur…Pour notre plus grand bonheur, tous deux ne séparent la vie maritime de la vie intérieure, ni de l’acte d’écrire et de peindre. C’est tout un. Geste d’amour qui va jusqu’à considérer la mer comme leur alter ego, leur consolante plénitude…Nathalie Fréour réussit à enclore le souffle océan dans la brièveté fulgurante d’un petit périmètre de papier, et Jean-Claude Coiffard a le secret de l’ellipse comme forme poétique du tact… Dire peu, c’est l’art de dire plus que si l’on eût dit davantage »

 

 

2016

JEAN-PIERRE BOULIC  
Avant-lire « ENCRE DE MER » J-C Coiffard , Ed L’enfance des arbres

« A lire le poète, à observer le peintre, ici, force est de reconnaître que F Hegel a eu raison de soutenir

que les manifestations de l’art renferment une réalité plus haute et plus vraie que l’existence courante… Alors, devant tant de lumière comment ne pas admettre qu’elle ne paraît pas son âge / l’éternité ? Oui, même si, à vue terrestre, un abîme d’ignorance est mis entre les hommes, on peut avec certains, et en dépit de tout, avoir l’intuition que le créé recèle le don de susciter rencontre, émerveillement et espérance car à l’origine cela était très bon (Gn 1,31). La parole est créatrice. Persévérante, elle révèle ce que le locuteur a éprouvé, découvert en soi : une présence vivante. Peut être est-ce la raison qui fait que, en feuilletant les pages, on entendrait marcher les anges et que les pastels nous laissent entrevoir comme une mer de cristal (Ap 15,2)… »

 

MARIE DARIEUSSECQ

« -Blanc, c’est beau. Votre toucher me plaît. Une tendresse des choses. C’est rare de voir le monde ainsi, et sérieux »

 

CHRISTIAN BOBIN
 « LANDEVENNEC, NAISSANCE DU BLANC » Ed CRER

« Vous et votre ami avez inventé un livre…Quelque chose comme le travail d’archéologues découvrant,

peu à peu, le royaume englouti d’un silence. »

 

JEAN-CLAUDE COIFFARD
« LANDEVENNEC, NAISSANCE DU BLANC » Gilles Baudry

« …Le peintre, avec une étonnante économie de moyens, grâce à des pastels frôlant souvent l’abstrait et tout en trasparence, s’associe parfaitement aux vers épurés du moine de Landévennec. Comme lui elle nous aide à découvrir dans les paysages entourant l’abbaye St Guénolé une réalité secrète qui, en définitive, est la vraie réalité. Paysages aux lisières du ciel, aux lisières de l’invisible. Paysages à frôler l’âme du monde. Sous les hauts feuillages, il faudrait peu de chose, semble-t-il, pour entendre bruire les ailes d’un ange et apercevoir, au miroir de l’océan, le reflet de son sourire. Avec Naissance du blanc, deux mondes se joignent et se rejoignent dans une même prière, vers un même silence empli d’une présence inouïe. Une prière qui nous donne à voir le Mystère qui nous entoure. Les couleurs et les lignes s’unissent aux mots pour nous montrer, dans le végétal ou le minéral, sur la terre et dans le ciel, ici et maintenant, les empreintes digitales de Dieu.»

 

GILLES BAUDRY
« LANDEVENNEC, NAISSANCE DU BLANC » lettre à Marc Nagels

«… Ces pages sont celles d’une partition. Mots et couleurs tentant cette alliance (-si difficile) de la beauté et de la bonté qui a nom de grâce. Ces pages voudraient- du moins un peu- faire entrevoir derrière la paroi de ce monde l’intuition d’un ailleurs, d’une autre lumière ; celle qui éclaire du dedans. Tout l’art, par des échappées lumineuses est de tenter de rendre visible le mystère, et ce, à travers les signes sensibles…Pour ma part, cette intimité virgilienne, franciscaine avec la nature, déploie le mystère de sa beauté vivante et octroie la préscience de l’invisible beauté. Nathalie Fréour a aussi ce regard sans hâte posé sur la branche d’un paysage inépuisable et qui saute à travers les apparences les irruptions de l’éternité…»

 

MARC NAGELS
 Préface « ABBAYE ST GUENOLE DE LANDEVENNEC, NAISSANCE DU BLANC » Ed Crer

« Un poème est une peinture invisible. Une peinture est un poème visibleEnonce Guo Xi » Cette phrase montre combien poèmes et peintures sont faits pour se rejoindre où, plus exactement, se dire mutuellement, l’un portant l’autre, l’autre contenant le premier, tous deux « riches de ce qui leur manque » comme la marge d’un poème clame l’absolue présence de ce qu’elle contient. Il suffira d’écouter ce même bruissement de la voix, cette prière du poète qui va tout bas dans ses pensées / comme une barque / avec à bord l’âme du monde…pour faire apparaître les paysages méditatifs de l’artiste – car ce ne sont pas les éléments tourmentés qu’elle donne à voir, mais la finesse de la paroi qui sépare le monde d’ici et le monde de là-bas, tout ce que la lumière vibrant étrangement sur ces terres électives révèle au poète, aux peintres, aux orants…Le paradis se devine dans les transparences du monde. Palpitation qui se dessine. Livre respiration. Poème et peinture : l’un médite l’autre cherchant peut-être dans l’indistinction des contours la pureté du dire, la nostalgie du verbe premier, par lequel tout commence et tout se noue… »

 

2015

HABIBA DJAHNINE
 « FRAGMENTS DE LA MAISON »

« C’est particulièrement fort ! Il y a dans cette forme de maison une femme, ou un esprit féminin. Une sorte de corps en gestation. Cette idée me plait beaucoup et les couleurs sont merveilleuses »

 

LOUISE DUPRE

« J’aime beaucoup votre travail, délicat et subtil, mais en même temps affirmé. On y sent une force tranquille, qui m’interpelle et me rejoint, on y trouve à la fois le sens de l’intime et celui du cosmique, les deux étant en étroite relation. Et, ce qui est plus, vos pastels m’apaisent et me consolent du mal dans le monde, ce qui n’est pas peu »

 

GILLES BAUDRY
 « LA VOIX BLEU-NUIT »  Exposition Passage Ste Croix Nantes

« Nathalie Fréour, la nuancière » Quoi de plus salubre, en notre ère de logique binaire, que cet art empreint d’une telle subtilité dans le chromatisme inouï des couleurs aux vibrations multiples ? Se pencher sur les pastels de Nathalie Fréour, les laisser lentement affleurer en filigrane du papier-partition, n’est-ce pas laisser advenir l’épiphanie des couleurs, recevoir l’onction de la lumière ? A la mansuétude des lointains bleus on s’aperçoit alors que la ligne « musicale » de l’horizon, c’est en nous-mêmes qu’elle s’inscrit et fait entendre ses secrètes modulations. Comment dire l’émotion devant pareille équation rêvée avec le lyrisme d’intériorité mien qui tente d’élever le poème à hauteur d’enfance jusqu’au chant de l’être ? Avec Nathalie je me sens en affinité élective en correspondance magnétique »

 

SIRI HUSTVEDT
 à propos de “JOIJOLIE”

« Dear Nathalie, they are beautiful and made me cry … »

 

2013

DOMINIQUE SAMPIERO
 « NUIT»

« …Magique et absolument intense, une belle tension entre les textes et votre travail. Incroyable comme tout s’emboîte, s’organise, se répond comme si tous les éléments étaient conçus pour se rencontrer. Nathalie somptueux travail. J’adore quand la réponse est la plus abstraite possible et il y a de vrais miracles car ce qui m’enchante c’est le contre chant, l’écho, jamais l’illustration de l’aphorisme qui pourrait sembler redondante et vous ne tombez jamais dans ce piège en glissant parfois une touche un peu plus narrative comme vous savez si intelligemment le faire vient ajouter du charme à la complicité de la lecture par rapport à ce que chuchote le poème. L’ensemble est très dense. Tout est calme, maîtrisé, d’un bout à l’autre, et pour moi dans une perfection harmonique entre les mots et l’image… »

 

2011

STEPHANE HOFFMANN /
La Baule Privilèges , p 87 88 89

« Pavillon sur l’eau, Maison des anges…Les séries présentées par le peintre sur son site ont des noms

poétiques. C’est que l’art de Nathalie Fréour, parce que ses mots sont des couleurs, porte au rêve tout autant que celui d’Hélène Cadou, dont les phrases sont des musiques Le coeur comme un navire prend le large »

 

2010

YVES COSSON  
à propos de « BLANC, C’EST UN PAYS » Ed Siloë Poèmes HELENE CADOU

« Vous avez réalisé une petite merveille. Il est rare et difficile de marier ainsi le poème et l’image. Ici, la

perfection est atteinte. J’allais parler d’une structure miroir, il est vrai que la composition typographique y contribue mais le charme vient surtout de ce passage subtil de la parole (écrite) à l’image, le lien étant la même ouverture du visible à l’invisible. On pourrait parler d’un chemin de « lisière » la lumière est la plus subtile qui soit. Le blanc est un pays sans frontière. L’évanouissement de la lumière est en harmonie avec la naissance du silence dans le poème. Serait-ce un chemin de contemplation qui fait sentir la présence de la vie et des êtres à travers le silence Un temps qui remonte à la source…Une légèreté d’enfance…Le bleu du ciel…Dialogue avec l’ange…La poésie d’Hélène est d’une pureté « d’ange » !

 

 

2009

HELENE CADOU 2009

« A Nathalie, au peintre des ciels vivants Si nous allions vers les plages Vers ces lieux où la lumière nous est donnée »

 

2002

MARIE-PAULE VADUNTHUN
Côté-Ouest n°39 Avril-Mai  p56

« La botanique selon Nathalie Fréour » Cette talentueuse artiste nantaise pousse la passion des fleurs jusqu’à en faire des prétextes à de la poésie, des prières et même des idéogrammes chinois. D’elle, discrète, modeste on a découvert avec émotion le superbe travail de grands carrés de papier de soie marouflé, ourlés des vers mélancoliques d’Hélène Cadou, toute proche. Ces oeuvres colorées et richement composées furent suivies des jarres orientales, inspirées par l’univers poétique des lettrés de la Chine ancienne. Une série que l’écrivain et calligraphe François Cheng a saluée d’une lettre qu’elle conserve comme un talisman parmi les dessins, pastels de sa maison-atelier au si joli jardin. Quelques vers de Rilke ici ou là, des mots d’AMOUR glissés dans les LETTRESPEINTURES, Nathalie invente et renouvelle sans cesse son inspiration tout en restant fidèle à ce qu’elle est : une amoureuse des fruits et des fleurs, une artiste joyeuse, une admiratrice inconditionnelle des végétaux, des matières et de la lumière. Expositions qui témoignent de son talent audacieux, spirituel et lumineux »

 

2000

BERNARD CLAVEL
« Jésus, le fils du charpentier »

« Toutes vos oeuvres me touchent et, ici, on sent fortement le drame et la grandeur de celui que vous avez peint. On sent ce drame même dans les arbres torturés de Judas. Image où, pourtant, Jésus n’est pas présent, mais il est là tout de même et cette présence invisible est votre force. Une grande force d’artiste. »

 

1997

FLORENCE DOUZIECH  
Côté Sud / n°47 août-septembre

« Voyages en pastels… » Echos d’un carnet de voyages qui suggère à mi-voix des confidences apocryphes. Quelle que soit sa route, Nathalie Fréour emporte toujours en bandoulière papiers et craies de couleur. « Je préfère l’idée d’une autre plume parlant pour moi et continuer de croquer la vie en couleurs…Qu’y puis-je si depuis ma dixième année j’appréhende le monde à travers un nuage de gouache et les poudres des pastels ? Les portes d’une dimension que je ne soupçonnais pas me furent alors entrouvertes par les beaux-arts d’Angers pour ne plus jamais se refermer. Il me semblait qu’une lumière nouvelle se posait sur tout ce qui m’entourait et défrichait un jardin secret enfoui au plus profond de moi. A ce jeu de miroirs, je sentais déjà confusément que ma vocation me suivrait et me poursuivrait où que puissent m’entraîner mes pas…Et, lorsque les livres ne m’invitent pas au partage de leurs souvenirs ou ne laissent pas mon esprit échafauder mille châteaux en Espagne, je fais corps avec mes pastels pour entrer de plain-pied dans la vallée de la matière…Eprise des parfums et des fruits de la terre, ma nature me verse vers des ciels cléments. Mais sous ces cieux miraculeux où tout s’épanouit avec insolence, mes pastels s’ancrent dans l’empreinte immuable que laissèrent les hommes derrière eux. Quoi de plus émouvant que les élans impériaux de cette architecture romaine affrontant les assauts du temps de leur bouclier de pierre. Et près de ces palais où je croyais

entendre comme un frôlement d’étoffe, je me sentais seule face à l’éternité. »

 

1994

HELENE CADOU

« J’aime ce que vous faites, vos jardins qui répondent à ma propre vision…Ces « Pétales de vie » si éclatants, si frais…J’aurais du bonheur à voir les poèmes de René ou les miens répondre à votre univers »

 

1993

MARIE-DOMINIQUE POT
" Vivre Ici printemps"

« Les jardins de Nathalie Fréour, Histoires de papier… » Tout un langage pour le toucher sont là, architectures de poussière, ensablés par le temps, par la brume d’un petit soleil tremblé…Et puis, sur ces évocations de désert ont poussé les fleurs : la poudre des pollens, le papier de soie froissé, ridé, fine pelure si appropriée pour les cosmos, les coquelicots. Nathalie sait restituer la consistance, le signe, l’esprit de la fleur, et pour ainsi dire ce que l’alchimie appelle « la signature » du végétal ou du minéral… »

 

1990

DOMINIQUE DUSSOL

« Au fil du pinceau, Nathalie Fréour transcrit ses impressions de voyages, ses lectures, ses errances qui se fondent dans un journal intime dont elle aurait mélangé toutes les pages. La lumière, l’air ambiant, tout cela remonte à la surface du papier comme des effluves. Les poèmes de René Char sont enchâssés comme des talismans et les pérégrinations de Rilke ou les voyages initiatiques de Julien Gracq sont autant de points de départ pour des petits poèmes visuels. Comme des lambeaux de peau, elle superpose des papiers de soie, obtenant des nuance, des transparences, des glaçures, tout un espace mobile et vibrant qui laisse s’épancher des réminiscences enfouies. Secrète, intuitive, subtile, la peinture de Nathalie Fréour invite au voyage. »

 

1987

DOMINIQUE DUSSOL

« Avec de la couleur, Nathalie Fréour caresse le papier, l’efface et le recouvre, assourdit ses brillances et provoque ses exhalaisons…Des pays de mémoire remontent ainsi à la surface du papier.

L’atmosphère tiède et suffocante des marais salants, l’entêtement du pollen des fleurs ou la griserie voluptueuse d’une soirée d’été…tout cela nous arrive comme des effluves, au rythme de la transpiration de la peinture et de l’eau sur le papier. Tout cela s’inscrit dans la transparence ou la matité des teintes et dans les rythmes d’une partition qui joue les quatre saisons.

Avec ses papiers peints, Nathalie Fréour abolit la notion d’abstraction et de figuration pour laisser place à un langage qui s’adresse d’abord à la poésie. Elle le fait avec un tact et une sensibilité exemplaire.»

 

1978

PIERRE PARET

« L’art de Nathalie Fréour est un art discret qui invite à la réflexion. Ses paysages ont leurs secrets et le propre des secrets est de se livrer lentement. On découvre alors dans chaque toile, une vie intense, innombrable qui, à l’inverse de certains grouillements, répand le calme. Pas d’éclat, pas de bruit, mais une sensation de sagesse au sens oriental du mot. A la fois légère et grave, dense et chaleureuse, cette peinture, aux harmonies savamment étudiées, est de celles qui ne mentent pas. Par ses vibrations, par des mouvements d’ensemble qui évoquent ceux des courants et des vents elle reste féminine malgré une construction solide et bien équilibrée mais très sensible.»

 

RAYMOND DARRICAU  

« Spiritualité des Landes » de François Mauriac

« Intimement unie au texte, l’environnant de toutes parts, l’illustration de Nathalie Fréour en épouse les

exigences profondes avec une exemplaire sincérité. Servie par une belle hardiesse de mise en page, cette rigoureuse fidélité au message de Mauriac permet à l’artiste d’en traduire les multiples facettes, de la ferveur poétique à la méditation spirituelle. Rejetant les routines d’un figuratif trop explicite comme les illusoires facilités d’une abstraction privée de référence au réel, Nathalie Fréour a délibérément opté pour un graphisme allusif, seul apte à transposer les secrètes pulsations du texte dans l’univers des formes et des couleurs. Dépouillés et puissants, de grands traits aux tonalités chaudes et contrastées initient aux tensions cachées de la forêt. Ils suggèrent les vibrations d’un soleil implacable sur les troncs rugueux. Leur graphisme décharné révèle les cîmes torturés des pins se découpant sur les larges aplats d’un ciel aveuglant de lumière, tandis que des taches de couleur longuement étirées indiquent les ruisseaux se frayant un passage à travers « le sable de feu ». Ouvrant sur le monde merveilleux de la sensation poétique, les illustrations de Nathalie Fréour mettent le lecteur en état de grâce pour percevoir le message de Mauriac selon ses affinités profondes et ses secrètes préférences. Pouvait-on souhaiter plus belle adéquation de l’image au texte, réussite plus achevée d’une véritable traduction de la poésie et de la musicalité mauriaciennes en un langage formel doté de toutes les puissances d’émotion et de rêve ?»

 

 

 

 

 

 

 PARCOURS

 

PEINTURES & POÈMES  /  ILLUSTRATION DES POÈTES

 

2020

 

« VIE EST SOURCE » NF

Texte & 13 pastels 30 cm x 30 cm sur papier noir

« SAUVAGE » Marc Nagels  
10 pastels 21 cm x 30 cm sur papier noir

« EAU VIVE » NF  
Poèmes & 12 pastels 30 cm x 42 cm sur papier noir

« LE CIEL BLANC COMME UNE PAGE, Y ECRIRE TA VIE » Emmanuel Godo
17 pastels 21 cm x 30 cm sur papier

« DE QUELLE AUBE SUIS JE L'ENFANT» NF
Poèmes & 32 pastels 21 cm x 30 cm

 

 

2019

 

« NOTRE DAME »
16 pastels 30 cm sur papier noir

« N’ECOUTE PAS Ô SION » Dominique Pagnier
60 pastels

« NAÎTRE AVEC L’HIVER » Jean Lavoué / Video youtube
14 Dessins blancs

« EN NOCHE » St Jean de la Croix…
11 pastels 15 cm x 30 cm sur papier noir  - 30 Dessins blancs 21 x 30  &  20  x 20 cm

« UN RENDEZ-VOUS AVEC LA NEIGE » Bernard Perroy éditions L’enfance des arbres
11 pastels 20 cm x 28 cm

« ONZE QUATRAINS D’UN AMOUR MYSTIQUE 1/2 » François Cheng
11 dessins carrés 20 cm x 20 cm sur papier noir

« ONZE QUATRAINS D’UN AMOUR MYSTIQUE 2/2 » François Cheng
11 pastels 15x30 cm sur papier noir Fabriano
« UNE ÎLE, UNE ÎLE SEULEMENT POUR AJOURER LA MER »
Gilles Baudry L’enfance des arbres
11 pastels + suite de  22 pastels + suite de 13 pastels

 

 

2018

 

« SAISONS FRAGILES » Jean-Pierre Denis
20 pastels

« LA BELLE HISTOIRE DE SAINT GWENOLE, PREMIER MOINE DE LANDEVENNEC» NF Ouest-France éditions 2020 46 pastels

« L’ÂGE VENANT » Gilles Baudry
7 Dessins blancs d’après Auguste Rodin

« L’EAU DE LA GREVE EST SI BLEUE » Jean-Pierre Boulic Editions Des sources & des livres
4 Dessins blancs

« LEVAIN DE MA JOIE » Jean Lavoué éditions L’enfance des arbres
20 pastels

« ET LES PRINTEMPS POURTANT  » Yves Fravalo  Editions Les terres du couchant
1 Dessin page de couverture

 

 

2017

 

« FORÊT  7 »  Megève
Leporello de 11 pastels

« FORÊT  6 »  Italie
Leporello de 11 pastels

« FORÊT  7 »  Megève
15 Dessins noir & blanc au feutre

« UN SILENCE DE VERDURE » Gilles Baudry L’enfance des arbres Video youtube 2019
3 carnets / 67 petits dessins au feutre noir

« EN CE JARDIN  » JEAN-CLAUDE ALBERT COIFFARD  Editions Des sources et des livres
50 dessins feutre noir

« CHANT ENSEMENCE 1.2 » Jean Lavoué  éditions L’enfance des arbres – video youtube 2019
60 Dessins blancs sur fond noir

« L’ETERNITE BRUIT DE MILLE FEUILLES D’OR » Gérard Bocholier
Leporello de 11 pastels + 33 pastels « Psaumes du bel amour »

« PRINTEMPS  » NF
Leporello >suite de 11 pastels

 

 

2016

 

« ENCRE DE MER » Jean-Claude Albert Coiffard  éditions L’enfance des arbres
42 pastels anciens

« ALPAGES DES ANGES »  d'après  Rainer Maria Rilke  « Vergers, Les Quatrains valaisans »
22 pastels 23x31 cm + suite 22 pastels 23x31 cm

« FORÊT 5 »  
3 toiles / 150 cm x 105 cm

« FORÊT  4 »  
Leporello de 11 pastels / 28 cm x 18 cm

« FORÊT  1,2,3 »  
3 carnets / 52 dessins au feutre noir

« ABBAYE ST GUENOLE LANDEVENNEC, NAISSANCE DU BLANC » Gilles Baudry ed. CRER
42 pastels / 59 cm x 27 cm & 10 cm + suite 5 toiles 1.60x1,1 0m

« PORTRAITS»  
10 pastel

« L'ORÉE»  Gilles Baudry L’enfance des arbres
Leporello suite de 11 pastels  28 cm x 18 cm

 

2015

« JOIJOLIE » NF
Textes & images - 11 pastels 22x30 cm

« LE SONGE DE GÉRONTIUS  » H Newman  Editions Ad Solem
66 pastels 19x10 cm / 22 tryptiques

« FRAGMENTS DE LA MAISON » Habiba Djahnine  Edition Bruno Doucey
22 pastels 12x24 cm

« INSTANTS DE PREFACE » Gilles Baudry  ed. Rougerie
22 pastels 20x20 cm + suite 22 pastels  20x20 cm

« CAILLOU & autes » Eugène Guillevic
7 pastels 20x20 cm

« DU CIEL EN PARTAGE » Gilles Baudry « Nulle autre lampe que la voix»  ed. Rougerie
7 pastels 20x20 cm

« LIBERTÉ » Paul Eluard
22 pastels 20x20 cm

 

2014

« SOUS L'AILE BREVE » Gilles Baudry « Nulle autre lampe que la voix»  ed. Rougerie
27 pastels 20x20 cm

« LA VOIX BLEU NUIT  » Gilles Baudry « Demeure le veilleur»  ed.  Ad Solem
23 pastels 20x20 cm

« L'OPULENCE DU PEU » Gilles Baudry « Le bruissement des arbres dans les pages»  ed. Rougerie
28 pastels 18x18 cm

« D 'UN RÊVE À L'AUTRE RIVE » Gilles Baudry « Le bruissement des arbres dans les pages»  ed. Rougerie  
26 pastels 18x18 cm

« UN JARDIN DE BEAUTÉ » suite inspirée de Paul Claudel « cent phrases pour éventail »
8 peintures sur toiles 160x160 cm

« LABYRINTHES » NF
14 pastels 14,5 cm

 

2013

« MORT1 MORT2 MORT 3 MORT4 » NF
Textes & 14 peintures carrées 1,5 m

« LES PIAFOUS » NF Conte Moral pour enfants
Textes & 19 pastels 18x26 cm

« NUIT » Poèmes Dominique Sampiero « La vie est chaude» Ed. Bruno Doucey
52 peintures rondes 22 cm

« NEIGE » Poèmes Bruno Doucey   
21 pastels ronds 25x33 cm

« PAYSAGES » NF
2 pastels sur toile intissée / 60x180cm  & 180x180 cm

 

2012

« ALLODOLA, FRANÇOIS D’ASSISE » NF / Editions SILOË
6 peintures 25x45 cm + 46 pastels anciens

« VARIATIONS SUR UN INSTANT » NF
45 petits pastels

« LE RENDEZ-VOUS DES ÉCRIVAINS À LA BAULE »
Maquette et pastels + affiche

« LES DOUZE ANIMAUX DES QUATRE VENTS » Lisa Bresner, éditions DESCLEE DE BROUWER
11 pastels 21x29,9 cm + 25 études < 30 cm

« UN JARDIN DE BEAUTÉ » suite inspirée de Paul Claudel « cent phrases pour éventail »
8 toiles 160x160 cm

« LABYRINTHES »
14 pastels 14,5 cm

« DES PETITES PATTES ET AUTRES JOYEUSES TRACES DE PAS » NF
37 pastels sur papier japon30x30 cm

 

 

2011

« LA NEUVAINE D’AMOUR » Bruno Doucey  OPERA Éditions
34 pastels < 40 cm

« CENT PHRASES POUR  ÉVENTAILS » NF inspiré de Paul Claudel
22 pastels sur papier japon 30x40 cm

« KYOTO » NF carnet de voyage
24 pastels 50x32.5 cm / 2 Kakemonos
« MILAÏ, DES AILES POUR L’AVENIR » Livre pour enfants japonais sinistrés Ed. Les petits Totems   
4 pastels 40x60 cm

« LA MER SUR ÉVENTAIL » NF

9 peintures 160 cm

 

2010

« BLANC, C’EST UN PAYS » HELENE CADOU Extraits du « PRINCE DES LISIERES »  Ed  SILOË

18 pastels 32x17 cm

« HAÏTI MAGNITUDE 7 » NF don pour la reconstruction d'Haïti

40 pastels < 30 cm + 10 pastels 50x32,5 cm

« POLINO MOINO » NF conte pour enfant « Une naissance »

12 pastels 30x21 cm

 

2009

« AU LOIN, MILLE PAPILLONS » François Cheng extraits de « CANTOS TOSCANS »

Editions Unes

27 pastels 19x18 cm

« NOTO MOMO » NF don pour la reconstruction d'Haïti

12 pastels 21x29,7 cm

« CIMES SUISSES » NF

90 pastels < 50 cm

« LA MAISON DIT AU JARDIN » NF

11 pastels sur papier soie marouflé

 

 

 

2008 - 2000

« FORTERESSES » NF Assise Toscane Japon

4 peintures sur toile 100x250 cm

« TERRES » NF Charente Beauce

6 peinturessur toile marouflée10(12x35 cm) 19 (35x120 cm)

« MERS » NF La Baule

34 peintures sur papier japon marouflé 50X50 cm & 9 toiles 100x250 cm & 45x180 cm

« PAPILLON, 21 GRAMMES » Lisa Bresner

5 pastels 23x50 cm

« CIELS » NF

10 toiles sur papier soie marouflé 220x220 cm

« LE PETIT MOZART » Catherine Gousseff  éditions DESCLEE DE BROUWER
9 pastels 17études

« KYOTO » NF carnet de voyage

17 pastels 21x29,7 cm

« DIX SOLEILS ET DOUZE LUNES » Lisa Bresner

27 pastels 21x29,7 cm

« MELILOTUS » Lisa Bresner

185 études encre de chine & pastels

 

 

1999 - 1993

« AI, AMOUR  »  NF recueil  inspiré d'extraits de « Vergers » de RM Rilke
9 toiles 18 jarres 220x200 cm . 9 peintures-lettres 250x200 cm

« JARDINS DE PAPIERS  » NF  toiles ornées de poèmes d'Helen et René Guy Cadou
9 toiles sur papier soie marouflé 220x220 cm

« JÉSUS FILS DE CHARPENTIER  »  NF inspiré de Bernard Clavel
20 pastels sur papier japon marouflé 50X50 cm & 9 toiles 220x220 cm

« SPIRITUALITÉ DES LANDES  »  N F inspiré de François Mauriac
10 peintues sur papier soie marouflé 102x65 cm & 9 toiles 150x70cm

« CHEMIN D'AILES  »  NF  toiles ornées de poèmes d'Helen Cadou
10 pastels sur papier soie marouflé 65x90 cm

« JARDIN DE MOTS DE L'ÉTÉ  »  NF

15 pastels sur papier soie marouflé 60x60 cm

« UN JARDIN D'ÉTÉ-RNITÉ  » NF  Paul Fréour «  qu'importe de temps qui passe » Ed. LA LICELIERE

19 toiles sur papier de soie marouflé 220x60 cm

« JARDINS POÈMES  » NF

55 toiles sur papier de soie marouflé 220x60 cm

 

 

STYLISME

1979 / création marque « SIRODORJA » vêtement enfant

1982-1986 / Modélisme pour « CENT IDEES »

1986 / Robe de mariée de NICOLE FERRIER

2004 / Costumière « MISAKO » film de LISA BRESNER

2004 / Robe de mariée de JULIE FREOUR

 

 

 

 

 

 

 

 EXPOSITIONS

 

E X P O S I T I O N S  C O L L E C T I V E S

 

2013   « LES ANIMAUX DES QUATRE VENTS » Médiathèque LISA BRESNER /
          Médiathèque JACQUES DEMY / NANTES

2011   « MILAÏ, DES AILES POUR L’AVENIR » Mairie du 6e / PARIS

« MILAÏ » Toyota showroom Champs Elysées / PARIS

2010  « HAÏTI, MAGNITUDE 7 » Café canal de l’Ourcq / PARIS

2009  « LE BILLET POEME » / PARIS

2007  « L’ART PREND L’AIR » Préfecture / NANTES

2006  « ART/EX / TOYAMA » Musée de TOYAMA (disparition de 4 peintures 1.20 m / MERS )

2005  « MUSEE DU LIONS CLUB D’ANGERS » Musée des ardoisières/ TRELAZE

  « GALERIE DANIEL DARTOIS » BORDEAUX (disparition de 3 peintures 1.20 m MERS)

2002  « MEDECINS DU MONDE » Hôtel des ventes / BORDEAUX

   « ART/EX / TOYAMA » Musée de TOYAMA

1998  « MAURIAC, SPIRITUALITES DES LANDES » Bibliothèque / CENON

1997   « ART/EX / TOYAMA » Musée de TOYAMA

1996  « SEPTEMVIR » Galerie des Beaux-arts / BORDEAUX

1995  « ROTULA » Musée de l’Imprimerie / ANGOULEME

  « LES ANNEAUX DE LA MEMOIRE» / NANTES

1992  « CALENDRIER DE L’AVENT » Façade Fauchon / PARIS

1991  « HOMMAGE A GOYA » / BORDEAUX, SARAGOSSE

 « SALON DES ARTISTES FRANÇAIS » (mention) Grand-Palais / PARIS

1989  « EX-PLOSITION » Affiche 4 x 3m / Festival d’AVIGNON

1987  « SI ON FAISAIT SEMBLANT DE PEINDRE LES MURS…»
    Manufacture des Tabacs / NANTES

1987  « 32e SALON DE MONTROUGE » / PARIS

 « L’ART TEXTILE AUJOURD’HUI » Musée des Jacobins / AUCH

1986  « CINQ PROPOSITIONS A SAISIR » Fondation Soulac-Médoc/ SOULAC

1985  « BRETAGNE 85 » Musée des Beaux-arts / NANTES

1984  « ESPACE GRASLIN » avec VERA CZEKELY et EDWARD BARAN / NANTES

1983  « FIBRES NON TISSEES » Galerie Bellefontaine/ LAUSANNE

1982  « ARTICULATIONS» / BORDEAUX

1976  « AUTOUR D’ALAIN KIRILY » Maison de la Culture / RENNES

 

 

 

 

 

E X P O S I T I O N S P E R S O N N E L L E S

 

2018  « Abbaye St Guénolé, NAISSANCE DU BLANC» Centre Creac’h Balbé  Landévennec Brest

2017  « Abbaye St Guénolé, NAISSANCE DU BLANC» Centre Creac’h Balbé Brest

2016  « Abbaye St Guénolé, NAISSANCE DU BLANC» éditions Crer. Exposition, Abbaye    

2015  « LA VOIX BLEU-NUIT » poèmes de Gilles Baudry / Passage Sainte-Croix NANTES    

2012  « JARDINS EN POESIE » Maison du Chapitre / PORNIC

 « LES ANIMAUX DES QUATRE VENTS » Médiathèque Hélène Berr / PARIS 12

 « LE RENDEZ-VOUS DES ECRIVAINS A LA BAULE » Affiche / Atlantia

2011  « LE RENDEZ–VOUS DES ECRIVAINS A LA BAULE » Atlantia

 « LES ANIMAUX DES QUATRE VENTS » Médiathèque du Jardin Public / BORDEAUX

2010  « BLANC, C’EST UN PAYS » Université Permanente / NANTES

2009  « HOMMAGE A HELENE ET RENE GUY CADOU » / LA BERNERIE–EN-RETZ

2003  GALERIE « ARTE DEL RICEVERE » MILAN

2002  GALERIE LE RAYON VERT / NANTES

2001  « JESUS, LE FILS DU CHARPENTIER » Cathédrale d’EVRY

 « JARDINS DE PAPIER » Maison de la Région des Pays de la Loire / PARIS 6

1999  « JARDINS DE PAPIER » Stand de la Région des Pays de la Loire, Floralies/ NANTES (        disparition 1 peinture carrée de 2,20m)

 « JARDINS DE PAPIER » CHATEAU DU LUDE

1998  MUSEE RENE GUY CADOU, La grange aux poètes / LOUISFERT

1997  « JARDINS DE PAPIERS » Couvent des Minimes / BLAYE

   « MAURIAC, SPIRITUALITES DES LANDES » Galerie Condillac / BORDEAUX

1994  « LES JARDINS DE NATHALIE FREOUR » Christian Tortu, Carrefour de l’Odéon / PARIS 6

 « L’ART DU JARDIN » Parc de St Cloud / PARIS

1992  GALERIE MARIE-CLAUDE GOINARD / LA BAULE

1990  GALERIE PRESIDENCE /  BORDEAUX

1989  GALERIE ETIENNE DE CAUSSANS / PARIS 6

1987  LION’S CLUB /  ANGERS, 1er prix de peinture

1984  GALERIE GUEMARD / ANGERS

1979 GALERIE DU FLEUVE / BORDEAUX

 

 

 

 

 

 

 

 

 PRESSE & MEDIAS

 

 

DEPUIS 1978 / COURRIER FRANÇAIS / DANIEL SAUNIER « UN DON EXCEPTIONNEL » / TEXTILE ART / CENT IDEES / ARTENSION / LE FESTIN / JOURNAL DE LA MAISON / LE MAGAZINE DE LA CONSTRUCTION / CUISINES ET BAINS / ARCHI CREE / VIVRE ICI / MARIE-CLAIRE IDEES / JOURNAL DU DIMANCHE / FIGARO MADAME / L’AMI DES JARDINS / LE JOURNAL DE LA MAISON / MAISON FRANÇAISE / PLAISIR DE LA MAISON / COTE SUD N° 47 / LOIRE OCEAN / PELLERIN MAGAZINE / OUEST FRANCE / COURRIER DE L’OUEST / CONNAISSANCE DES HOMMES / DEMEURES & CHATEAUX / COTE OUEST N°23 ET N° 39 / L’ECHO / LE REGIONAL / RADIO LIMOUSIN / COTE FEMMES / REFORME / LA LIBRE BELGIQUE / PETIT PAGE / TELERAMA N° 2767 / L’ECHO DE L’OUEST / LA MARSEILLAISE / LA VOIX DU NORD / NANTES METROPOLE 2003 / PRATIQUES DES ARTS N° 61 / LES CARNETS DE L’AMATEUR D’ART / POINT DE VUE « CHEZ MONSIEUR ET MADAME D’ORNANO LONDRES , ENTREPRISE SISLEY » / TV FRANCE 2 & FR3 « BON ANNIVERSAIRE MOZART» JUIN 2008 / CATALOGUE 2010-2011 UNIVERSITE PERMANENTE DE NANTES / ENCRES VAGABONDES / LE MATRICULE DES ANGES / RADIO FIDELITE DÉCEMBRE 2010 / BLOG EDITIONS SILOË / SITE JEAN-CHRISTOPHE ROSAZ / HELENE CADOU WIKIPEDIA / KIBÔ PARIS BLOGSPOT.COM / REVUE L’ARBRE / REVUE LA BAULE PRIVILEGE 2011 / 2011 2012 LE RENDEZ VOUS DES ECRIVAINS A LA BAULE / 2013  L’ECOLE DE ROCHEFORT ET RENE GUY CADOU -  PRESSE DE L’UNIVERSITÉ D’ANGERS / 2014 LES CAHIERS DES POETES DE L’ECOLE DE ROCHEFORT-SUR-LOIRE, RENE GUY ET HELENE CADOU » UNIVERSITÉ DE NANTES / WWW ARTS EN BRETAGNE AUJOURD’HUI, SITE JEANYVES BOSSEUR COMPOSITEUR / BLOG GHISLAINE LEJARD / « NOTES GUILLEVIC NOTES » YORK UNIVERSITY TORONTO CANADA, VOL.VFALL AUTOMNE 2015 P9 À 21 / OUEST FRANCE JUILLET 2017 « UN SILENCE DE VERDURE » / OUEST FRANCE OCTOBRE 2017 « ENCRE DE MER » / REVUE ETUDES COLETTE NYS-MAZURE « UN SILENCE DE VERDURE » NOVEMBRE 2017 / « UN SILENCE DE VERDURE » CITÉ DANS REVUE ULTREÏA N°14 JANVIER 2018 /« UN SILENCE DE VERDURE » COLETTE NYSMAZURE POUR BELGIQUE DIMANCHE / « EN CE JARDIN » FRANÇOIS VERCELLETTO OUEST FRANCE 26 JANVIER 2018 / « UN SILENCE DE VERDURE » GHISLAINE LEJARD POUR TERRE À CIEL JANVIER 2018 / « ENCRE DE MER » PIERRE TANGUY POUR HOPALA ! JANVIER 2018, JUILLET 2018 / MOBILIS « UN SILENCE DE VERDURE » 2018 / REVUE REFLETS N°28 ÉTÉ 2018